À propos de cette exposition
Lina Grumm, artiste en résidence au Wiels, invite trois jeunes artistes à exposer. Du 30 juillet au 16 août, une série de trois expositions est présentée dans la Project room à l'arrière de Wiels. Chaque exposition ouvre à 19h le jeudi et reste ouverte jusqu'au dimanche.
#1 Tina Schulz: Translation (Quand les murs tombent)
Vernissage jeudi 30.07 19h
Exposition 31.07 - 02.08.2009
#2 Alexander Hempel & Hans-Christian Lotz: Untitled
Vernissage jeudi 06.08
Exposition 07.08 - 09.08.2009
#3 Eiko Grimberg: Folie du jour
Vernissage vendredi 14.08
Exposition 14.08 - 16.08.2009
Dans un premier temps, il est question de trois "choses". Aucune narration. C'est alors qu'"A" intervient et dit qu'il faut trois éléments pour mettre en place un récit. C'est la raison pour laquelle elle veut toujours au minimum trois choses. Chacune d'entre elles existe en tant qu'idée abstraite, concept ou souvenir.
Ensuite, il y a l'espace. Celui-ci implique l'existence et la limite du temps, de même que la possibilité de lier visuellement et textuellement des idées, ainsi que la présence d'un spectateur.
Trois choses seront donc installées dans un même lieu mais à différents moments. Elles seront mises en place comme une série d'installations. Ces installations prendront vie grâce à l'espace qui les entoure.
Il n'y a pas encore de texte. Juste un essai. Ces trois éléments soulèveront une multitude de stratégies, et leur monstration tiendra lieu de texte. Ils ont besoin de prendre place afin que nous puissions les interpréter.
Il existe un lien entre ces trois installations, ainsi que des références évidentes. "B" dit que sans aucune référence nous ne produirions que du kitsch: "le moment à partir duquel ces références commencent à changer est le moment d'intérêt". A cet instant, "C" nous invite à y regarder de plus près parce qu'une fois de plus nous avons "caché" des choses. "Tu devrais davantage te faire plaisir et apprécier". L'attention est créée grâce à une observation assidue nous dit "D": "Les situations observées sont toujours celles que l'on regarde du coin de l'oeil"
Le langage ne souligne normalement qu'une partie d'une interaction. Deux explications valent mieux qu'une. Alors, allons-y et regardons.
Lina Grumm
#1 Tina Schulz: Translation (Quand les murs tombent)
Vernissage jeudi 30.07 19h
Exposition 31.07 - 02.08.2009
#2 Alexander Hempel & Hans-Christian Lotz: Untitled
Vernissage jeudi 06.08
Exposition 07.08 - 09.08.2009
#3 Eiko Grimberg: Folie du jour
Vernissage vendredi 14.08
Exposition 14.08 - 16.08.2009
Dans un premier temps, il est question de trois "choses". Aucune narration. C'est alors qu'"A" intervient et dit qu'il faut trois éléments pour mettre en place un récit. C'est la raison pour laquelle elle veut toujours au minimum trois choses. Chacune d'entre elles existe en tant qu'idée abstraite, concept ou souvenir.
Ensuite, il y a l'espace. Celui-ci implique l'existence et la limite du temps, de même que la possibilité de lier visuellement et textuellement des idées, ainsi que la présence d'un spectateur.
Trois choses seront donc installées dans un même lieu mais à différents moments. Elles seront mises en place comme une série d'installations. Ces installations prendront vie grâce à l'espace qui les entoure.
Il n'y a pas encore de texte. Juste un essai. Ces trois éléments soulèveront une multitude de stratégies, et leur monstration tiendra lieu de texte. Ils ont besoin de prendre place afin que nous puissions les interpréter.
Il existe un lien entre ces trois installations, ainsi que des références évidentes. "B" dit que sans aucune référence nous ne produirions que du kitsch: "le moment à partir duquel ces références commencent à changer est le moment d'intérêt". A cet instant, "C" nous invite à y regarder de plus près parce qu'une fois de plus nous avons "caché" des choses. "Tu devrais davantage te faire plaisir et apprécier". L'attention est créée grâce à une observation assidue nous dit "D": "Les situations observées sont toujours celles que l'on regarde du coin de l'oeil"
Le langage ne souligne normalement qu'une partie d'une interaction. Deux explications valent mieux qu'une. Alors, allons-y et regardons.
Lina Grumm